Notre expérience approfondie du jeu de rôle nous a convaincu qu'on pouvait le définir comme un mode de développement personnel particulièrement agréable et universel (vous pouvez à ce sujet vous référer à sa définition ainsi qu'à notre vision du jeu de rôle). Il semble donc légitime de lui faire jouer un rôle (mais oui !) auprès de populations qui ont besoin de disposer d'une activité attrayante, conviviale, stimulante, structurée mais non compétitive et pas trop complexe. Nous soutenons ce type d'initiatives qui rendent service aux intéressés tout en démontrant la valeur du jeu de rôle pour la société.
En effet, des sessions de jeu de rôle allégées en système sont déjà couramment utilisées comme activités de divertissement intelligent pour de jeunes enfants, dans un contexte pédagogique ou du moins encadré (écoles, colonies de vacances). On peut aller plus loin. Il existe en effet diverses populations limitées par force dans leurs mouvements, vivant au sein d'un environnement collectif et disposant de peu de d'activités pour tromper leur ennui : détenus en milieu carcéral, personnes et notamment enfants souffrant d'une maladie qui impose une longue hospitalisation, personnes âgées en maison de retraite... Bien souvent, hormis de courtes visites de proches, la seule activité est la télévision, particulièrement si l'âge (trop jeune ou trop avancé), l'illettrisme ou une défaillance visuelle rendent la lecture problématique.
Il est regrettable de renforcer ainsi le caractère désocialisant de ces situations, alors que le jeu de rôle est si facile à mettre en oeuvre dans ce type de contexte, lui qui ne nécessite ni activité physique ni matériel particulier mais seulement du temps, de l'imagination et la faculté de s'exprimer. De plus, il permet de rompre l'isolement, puisqu'il requiert le dialogue avec le reste du groupe de joueurs, et, au-delà, met véritablement en jeu une dynamique de groupe qui, pour une fois, ne repose sur aucune espèce de compétition (à condition bien entendu que le meneur de jeu fasse preuve d'assez de maturité pour ne pas en instaurer une de fait, par exemple en favorisant arbitrairement un joueur au détriment d'un autre ou encore en donnant l'impression que le scénario est un défi qu'il faut être le premier à relever). Autrement dit, une partie de jeu de rôle permet à chacun de s'exprimer dans la limite de sa volonté de le faire et de son respect du droit des autres à s'exprimer également.
Par ailleurs, outre les qualités qu'il requiert et encourage, comme la mémoire (pour se souvenir des événements d'une session sur l'autre), la concentration (pour rester fixé sur l'histoire pendant quelques heures) ou la prise de parole en public qui en est le vecteur, le jeu de rôle promeut l'acquisition de compétences de base comme la lecture (il faut lire les règles et les suppléments et, au-delà, se documenter sur l'univers de jeu) ou le calcul mental (les systèmes de jeu étant en principe chiffrés), ou plus développées comme l'histoire (par intérêt pour l'univers du jeu qui fait en général peu ou prou référence à des civilisations historiques), les langues (la majorité des jeux étant en anglais) ou pourquoi pas les sciences (il faut bien qu'il y ait une raison pour laquelle les populations d'ingénieurs sont de si avides consommateurs de science-fiction !).
Il semble donc qu'on puisse tirer parti de ce jeu qui motive agréablement et sans heurt à apprendre et à gérer des relations harmonieuses au sein d'un groupe, au profit de populations en rupture avec l'intégration sociale ou le système scolaire (jeunes prédélinquants, typiquement) et dont les références ludiques sont en général plutôt celles de la violence en toute impunité et des implants mammaires. Sous le contrôle d'animateurs qualifiés, le jeu de rôle est un outil idéal pour démontrer par l'exemple que toute action commise entraîne des conséquences, qu'un groupe structuré est plus efficace que la somme de ses membres, que l'ingéniosité permet toujours de trouver une issue inédite à toute situation et que la réalité obéit à des règles (ici le système de jeu) complexes et nuancées mais inéluctables. Rappelons toutefois qu'il ne s'agit aucunement d'une thérapie mais d'un loisir, qui suppose donc le consentement des participants, et que le jeu de rôle n'a donc pas vocation à être utilisé auprès de populations lourdement psychotiques ou sociopathes (qui de toutes façons ne s'y intéresseraient probablement guère).
Enfin, on constate souvent chez les joueurs une tentation, bien naturelle dans un loisir qui repose sur la créativité, de produire leur propre matériel ludique : scénarios bien sûr, mais aussi extensions ou même jeux complets et innovants. Cette tendance peut ici être utilisée pour développer les talents littéraires ou graphiques des joueurs, ainsi que le fait de savoir mener à bien un projet en travaillant avec la rigueur et la structuration nécessaire à la réalisation d'un produit de qualité. Finalement, un goût suffisamment marqué pour le jeu de rôle peut conduire à choisir de s'investir dans une association ou chez un éditeur professionnel, avec les responsabilités hiérarchiques et budgétaires qui vont avec.
Notre proposition concrète est donc de relayer sur cette page toute initiative visant à organiser des parties de jeu de rôle auprès de populations en voie de désocialisation. Vous pourrez ainsi faire connaître vos projets, attirer les bonnes volontés et recueillir les conseils de professionnels de l'action sociale ou de l'enseignement.
Merci donc de nous communiquer sur imaginez.net@free.fr vos coordonnées (postales, téléphoniques et électroniques) et les caractéristiques de votre initiative (quelle géographie, quelle population concernée, quel partenariat avec les pouvoirs publics ou des associations). Nous citerons alors sur cette page votre initiative et y relaterons les progrès de son avancement. Naturellement, vos coordonnées seront tenues strictement confidentielles.
De même, si l'une des initiatives mentionnées sur cette page retient votre attention, soit parce que vous souhaitez y participer (que vous soyez joueur, sociologue ou travailleur social), soit parce que vous êtes en mesure de fournir des conseils professionnels sur le sujet, soit parce que vous souhaitez lancer une initiative similaire dans une autre géographie (en tant que joueur ou en tant que responsable local), merci de nous faire connaître vos coordonnées et nous les relaierons aux responsables de l'initiative concernée.
De notre côté, nous sommes prêts à apporter notre concours personnel à toute initiative de ce type, en aidant ceux qui l'ont lancée à défendre leur projet auprès des partenaires nécessaires ou en animant nous-mêmes des sessions. A cet égard, nous avons mis au point un système de jeu suffisamment simple pour être à la portée de n'importe qui mais assez consistant pour constituer une démonstration en vraie grandeur, reposant sur des phrases simples et des supports graphiques pour être accessible à des populations peu alphabétisées, sans calculs, sans dés géométriques, avec un univers de référence qui ne nécessite pas un long exposé fastidieux ou la mémorisation d'un vocabulaire complexe, mais pour autant dépaysant et plus stimulant pour l'imaginaire que la réalité quotidienne, et une grande facilité accordée au meneur pour que chacun de ses arbitrages soit un message.
Nous insistons sur le fait que notre rôle se limite à la facilitation et à la communication de vos initiatives, et que nous ne prenons pas l'initiative de démarcher nous-mêmes les pouvoirs publics. De même, faute de moyens effectifs de contrôle, nous ne pouvons compter que sur la sincérité des uns et des autres en ce qui concerne leurs intentions et leur identité, notamment lorsque nous mettons en relation des gens qui souhaitent travailler sur le même projet.
Bon courage à tous.
Thomas Laborey
Dans le cadre de cette initiative d'applications citoyennes du jeu de rôle, nous allons investiguer la possibilité de proposer ce loisir fondamentalement verbal à des populations non ou mal voyantes. Une réflexion est en cours sur la faisabilité, pour un voyant, de formuler des descriptions qui ne recourent pas à des images visuelles et de mettre au point un système aléatoire utilisable par des malvoyants puisque les accessoires classiques (dés, cartes...) reposent tous sur la vue. Nous vous tiendrons informés de l'avancement de ce projet. En savoir plus....
L'hôpital Necker de Paris, spécialisé dans les enfants malades, s'est avisé que
rester allongé seul dans un lit, au mieux devant la télévision ou la console de
jeu, n'est pas la meilleure façon de passer son enfance, a fortiori lorsque l'on
souffre déjà d'une maladie grave. Il s'est donc doté il y a plusieurs années de
l'Espace plein ciel, un loft incroyable où cohabitent BDthèque, home cinéma,
studio d'enregistrement, billards, jeux en réseau, bref toutes les activités
ludiques et culturelles possibles.
Depuis 2005, Imaginez.net y a ajouté le jeu de rôle. Avec nos produits pour
jeunes joueurs (JdR Pour Tous, Insectes & Cie, CdF Junior, disponibles en page de téléchargement), nous venons
régulièrement y animer des parties en sketch ou en table ouverte aux jeunes
malades de tous âges et aux animateurs de l'Espace. Et bien sûr, malades et
animateurs sont devenus autonomes et mènent maintenant leurs propres parties,
tandis que d'autres associations rôlistes sont présentes dans l'Espace et qu'on
trouve désormais des JdR dans la bibliothèque de l'Espace...
Message de Arnaud Barras du 17/12/2003, fondateur de Coeur de Rôliste
Bonjour à tous,
L'association Coeur de Rôliste a été dissoute aujourd'hui même lors
d'une Assemblée Générale spécifique.
Depuis quelques mois, nous connaissions un problème de moyens
humains critiques (je dis critique car le nombre de membres n'a
jamais dépassé 5) puisque nous n'avions de plus de Trésorier.
Il semble évident que ce projet manquait de maturité.
J'ai fait l'erreur de monter une association sans me renseigner tout
d'abord sur le nombre de rôlistes qui auraient pu se sentir
concernés.
D'autre part, je me suis investi personnellement dans une autre
association. Quand j'ai vu que le projet Coeur de Rôliste
n'intéressait vraiment personne, je m'en suis détourné pour me
diriger vers des projets qui pouvaient se concrétiser.
Je remercie ceux qui ont crû en nous.
Ces derniers mois, j'ai discuté avec des personnes qui pensaient
monter leurs propres associations dans l'esprit Coeur de Rôliste.
J'espère que ces personnes arriveront à construire des projets
viables.
Je vous souhaite à toutes et à tous de joyeuses fêtes de fin d'année.
Cordialement,
Arnaud Barras
Président de Coeur de Rôliste.
Note : la newsletter sera détruite après l'envoi de ce message. Il
en sera de même pour la boîte aux lettres ; vous pouvez toujours me
contacter à cette adresse.
A l'occasion du Téléthon, l'association Lupus ideis a organisé les "24h du JDR". 24H de JdR non stop. Tous les bénéfices de la buvette (et de l'entrée s'il y a entrée à payer) ont été reversés au Téléthon.
Le Don du Dragon est une convention de jeu de rôle qui a eu lieu à Strasbourg les 5 et 6 décembre 2003, dans le cadre du Téléthon. En savoir plus...
Appel lancé par le Don des Dragons
Bonjour à vous, amis rôlistes,
L’an passé, sur Strasbourg, a germé l’idée d’organiser une convention de jeu de rôle dans le cadre du Téléthon. Grâce à tous ceux qui ont accepté de nous aider à concrétiser cette idée, l’événement eu lieu, sous le nom du Don des Dragons, en décembre dernier. Nous souhaitons renouveler l’expérience pour le Téléthon de cette année, et faisons de nouveau appel à vos plumes pour écrire l’un ou l’autre des scénarios qui seront joués au Don des Dragons 2004, les 4 et 5 décembre prochain. En savoir plus...
Ce message a été posté par iowyr sur la liste de diffusion du jeu Maléfices. Si vous êtes intéressés pour connaître les modalités de ce genre d'initiatives, ou si vous voulez apporter des renseignements à son auteur, vous pouvez lui écrire.
Bonjour à tous,
ce sujet n'est finalement pas si hors sujet que cela mais j'imagine
aisément qu'il n'intéressera pas tout le monde.
En voici la problématique :
dans le cadre de l'activité du club de jeu de rôle auquel j'adhère
nous avons été contacté par une municipalité et une association afin
d'effectuer des prestations (rémunérées qui plus est) autour du jeu
de rôle pour un public de jeunes en banlieue parisienne.
Bien sûr c'est l'occasion pour un club de gagner de l'argent tout en
recrutant, quoi rêver de mieux, mais de mon point de vue c'est
surtout une occasion unique d'aider ces jeunes et de démontrer les
vertues du jeu de rôle.
Là où les choses se compliquent c'est que nous ne sommes ni profs, ni
animateurs, pas plus que travailleurs sociaux et pourtant il va nous
falloir élaborer un projet pédagogique, déterminer nos objectifs,
etc... En ce qui me concerne je pense que les points les plus
importants sur lesquels nous pouvons travailler sont dans deux axes.
Le premier est d'aider à "socialiser" ces jeunes en leur donnant la
possibilité de s'exprimer en public, de coopérer,...
Le second est d'ordre éducatif ou culturel en essayant de susciter un
intérêt pour la littérature ou l'histoire...
Par la suite peu aussi venir le travail d'écriture, l'organisation
d'une manifestation, etc...
Bien évidemment nous ne savons pas du tout par quel bout prendre ce
projet aussi si vous avez des idées, des commentaires, des
suggestions, ils seront les bienvenus (je pense principalement aux
profs présents sur cette liste).
Merci.
Vous trouverez sur ce site le mémoire de CAAPSAIS de Roland Butor qui décrit les avantages à utiliser le jeu de rôle comme élément pédagogique auprès d'enfants handicapés. Aller lire le texte...
Message de Frédéric GANGA
Amis rôlistes,
j'ai réussi à décrocher, avec l'association zygo de La Ciotat
(Bouches-du-Rhône), un contrat de ville portant sur une année de parties de
jeu de rôles avec des enfants de classe primaire entre 11h30 et 13h30.
Les enfants sont répartis en deux groupes :
- CP, CE1 et CE2
- CM et CM2.
A raison de 6 parties (dont une pour la création de personnages), 40 minutes
par partie pour 10 enfants, le scénario est mince mais je voudrais faire ici
quelques premières constatations.
1) l'imagination des enfants, une fois qu'ils ont compris le principe,
revient au pouvoir. Il est assez impressionnant de voir comment, une fois le
moment de surprise passée ("ce monsieur n'est pas un maître d'école, on peut
s'en donner à coeur joie"), les enfants prennent leur personnage en main et
le jouent en direct.
2) A la fin des 6 parties, ils me demandent comment faire pour continuer à
jouer quand je ne serai plus là. Je suis donc en train de concocter un
mini-livret (20 pages maxi) rappelant les règles de mon jeu de rôles spécial
"pitchouns".
Si vous aussi vous jouez ou souhaitez jouer avec des enfants, je serais
heureux d'avoir vos questions ou vos expériences.
Moi, je trouve ça fantastique, de donner le JDR aux petits comme antidotes
aux jeux virtuels. Rien ne vaut une table et de joyeux drilles en chair et
en os autour.
Frédéric Ganga, poète et ancien président des Créateurs de Rêves de
Montmarte, parti s'installer au bord de la mare nostrum.
Pour le contacter.
Message de Gwenchlan Hamon
Bonjour,
Je suis enseignant et rôliste, et je
pensais depuis quelques temps utiliser le jeu de rôle pour travailler
avec des élèves en gros échec scolaire.
Je recherche un exemple de scénario afin de me permettre (à moi et à
d'autre je pense) de travailler dans un cadre "éducatif" et pas
simplement "récréatif", puisque c'est le but de l'activité.
Je vous remercie,
Gwenc'hlan Hamon
Comme certains d'entre vous en ont peut-être entendu parler, Matthews Simmons Marketing est le sponsor de la National Games Week (Semaine Nationale des Jeux), une campagne promotionnelle visant à attirer l'attention sur les jeux en tant que loisirs positifs et sociables. En savoir plus....
L'association Terra Ludis vous propose des animations basées sur le jeu de rôle, un loisir à la fois socialisant, culturel et divertissant ! En savoir plus...
Depuis la fin des années 1990, l'Education Nationale recommande, notamment pour l'enseignement des langues (principalement le français comme langue étrangère), l'utilisation d'une technique calquée sur le Jeu de Rôle et intitulée "simulation globale". Les élèves d'une classe y définissent avec leur professeur un décor (le "lieu-thème") et les rôles naturels à y jouer, puis se les distribuent et s'efforcent d'établir ensemble, par le raisonnement logique et la concertation, un historique et une toponymie vraisemblable pour la petite communauté virtuelle ainsi définie, d'y animer des événements récurrents, etc.
Il s'agit au moins autant de création collective que de "roleplaying", mais la parenté est flagrante et démontre une nouvelle fois la valeur pédagogique sans égale d'un divertissement culturel comme le JdR.
Pour en savoir plus, une sélection de références :
Le professeur de lettres/histoire, rôliste, du lycée professionnel François
Albert de Noeux les Mines (Pas de Calais) a proposé à ses élèves de Première bac
pro structures métalliques (promo 2005-2006) d'écrire ensemble un scénario
générique, l'Attaque des géants, téléchargeable ici.
Le projet, soutenu par l'administration du lycée, a donné lieu à la création
d'un atelier d'écriture (les Forges d'Artois). Le point de départ était le
constat de forte démotivation des élèves pour les matières non professionnelles,
en particulier littéraires. La création de JdR est apparue comme le moyen
naturel de balayer la totalité du programme de façon ludique et
responsabilisante : recherche, cohérence, expression, variation des styles...
Très vite, d'autres matières se sont trouvées sollicitées (arts appliqués,
gestion, maths, histoire-géo...), ainsi que des compétences comme l'expression
orale, le travail en mode projet... Il est significatif que le fait de jouer une
première partie a constitué le déclic qui a donné envie aux élèves de s'investir
dans la conception littéraire... et que la proviseur-adjoint du lycée n'a eu
aucune objection a un tel projet, preuve que les temps ont changé et qu'un
discours convaincant porté sur le JdR ne tombe plus dans l'oreille d'un sourd.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter une interview du responsable du
projet dans le n°24-25 de la Lettre de la FFJdR
Le Service municipal de la Jeunesse de Fontenay sous Bois s'est doté
depuis plusieurs années
d'un Atelier ludique pour imaginer, créer et expérimenter (ALICE) qui organise
des parties de JdR comme un club traditionnel, mais surtout fait participer ses
membres à des projets de conception de jeux sur des thèmes citoyens tels que la
prévention des comportements à risques (la Guilde des baliseurs et cartographes)
ou l'archéologie préventive (Bibracte, fanatiques celtes). L'un des acteurs les
plus dynamiques de l'ouverture du JdR à de nouvelles pratiques, de nouveaux
publics et de nouveaux usages.
Plus de renseignements ici (rubrique "A.L.I.C.E.")
Un rôliste suisse a pris sur lui d'aller faire découvrir le JdR aux ludothèques, paradoxalement assez ignorantes du sujet, sous la forme de cours (CR disponible sur le forum de la FFJdR ici. Ses conclusions sont que les ludothèques connaissent et conservent mal le JdR et s'adressent trop souvent à une population purement enfantine, mais qu'elles croient fortement aux produits de transition entre jeu de société et JdR, comme nous le soulignons dans notre Observatoire économique.
La FédéGN a formalisé un support sur l'action du GN dans le domaine de l'éducation populaire, au sens de Condorcet. Comme la plupart des associations citées font également du JdR sur table et que de toute façon la démarche est transposable, n'hésitez pas à vous en inspirer. A télécharger ici.
Si vous connaissez d'autres initiatives du même genre, ou encore mieux que vous souhaitez en organiser, merci de nous contacter !
